Ϟ Mensonges proférés : 122 Ϟ Richesses amassées : 166 Ϟ Epitaphe : 22/08/2015 Ϟ Pseudonyme : Envy Ϟ Crédits : kim-beurre-lait Ϟ Gagne-pain : stagiaire à la bibliothèque de Stockbridge
Mathilda Tyler
| Sujet: Mathilda Tyler (terminé) Sam 22 Aoû - 15:30 | |
| Mathilda Tyler Informations Famille Ϟ Sa mère est une assassin et espionne au service du Conglomérat. Quant à son père, il était un brillant journaliste décédé quand Mathilda avait six ans. Niveau de vie Ϟ Moyenne. Mathilda n'est pas particulièrement riche mais elle ne manque de rien non plus. Emploi et études Ϟ Stagiaire dans une bibliothèque de Stockbridge. Termine ses études de Lettres. Résidence Ϟ Un petit appartement à Newtown Capacités Pouvoirs Ϟ Aucun Améliorations Ϟ Aucune Atouts Ϟ Sa détermination et son courage sont sans doute les plus grandes qualités de Mathilda. De plus, ayant appris les arts martiaux grâce à son parrain, si on vient à lui chercher des noises... elle sait se défendre Faiblesses Ϟ Si Mathilda est déterminée, elle est également très têtue. Parfois trop. Ce qui lui a valu l'agacement de certaines personnes. Elle possède également une part sombre qu'elle s'efforce de garder enfouie en elle. Descrition mentale Comment décrire Mathilda ? Ses proches diraient qu'elle est une tête de mule incurable ! Quand elle a quelque chose en tête, il y a très peu de chance pour que vous le lui retiriez de l'esprit. Mais son entêtement n'a d'égale que sa détermination. Quand elle se fixe un objectif, un but, elle s'y tient et se donnera à fond dans ce qu'elle entreprend. Et comme elle est butée, vous n'arriverez jamais à la détourner de la voie qu'elle s'est choisie. Mathilda est également quelqu'un de très à l'écoute. Elle prendra toujours le temps pour prêter une oreille attentive à ceux qui en vaillent la peine. Elle ne dira pas forcément quoi que ce soit mais elle vous écoutera et ne vous jugera pas. Protectrice envers sa famille et ses amis, elle peut sérieusement s'énerver si vous faites le moindre mal à ceux qu'elle aime. Ses proches sont la prunelle de ses yeux. Si elle vient à perdre l'un d'eux, elle en sera profondément affectée. Mathilda est une jeune femme vive qui sait s'amuser et rire avec ses amis. Elle aime passer du temps avec eux ainsi qu'avec sa famille. Même si elle peut paraître enfantine dans ces moment-là, il ne faut pas s'y fier. Mathilda possède malgré tout une certaine maturité quand il le faut. Intelligente, elle n'est pas du genre à foncer tête baissée. Au contraire, elle réfléchit toujours avant d'agir. Néanmoins, malgré sa gentillesse naturelle, Mathilda a quelque chose... de sombre qu'elle garde enfouie au fond de son cœur. Elle en a conscience et en a peur. Peur que ça devienne un danger pour ses proches. Et cette peur profonde lui fait souvent perdre de vue sa valeur ainsi que sa confiance en soi. Description physique Mathilda est une jeune femme simple. Si on ne peut utiliser l'adjectif « belle », on peut largement la décrire comme étant jolie ou mignonne. Elle possède un visage allongé plutôt agréable à regarder avec des pommettes prononcées. Ses yeux bleu-vert brillent de vivacité et d'intelligence. Sa bouche, bien qu'un peu grande par rapport à sa figure, est généreuse et appelle souvent aux baisers. Adepte du naturel, vous ne verrez jamais Mathilda se maquiller. Ou très rarement et uniquement pour des occasions. Tout comme vous ne la verrez jamais avec des coiffures affriolantes et complexes. Non, merci pour elle ! Elle laisse toujours sa longue chevelure brune cascader dans son dos ou, à défaut, les attache en une simple queue-de-cheval. De taille moyenne, Mathilda a un corps svelte, bien que musclé dû à son intense entraînement en arts martiaux prodigué par son parrain, Kyle Johnson. Bien qu'elle ne paraisse pas très féminine au premier abord, la demoiselle a malgré tout des formes bien proportionnées. Des hanches bien dessinées ainsi qu'une poitrine joliment formée et d'une taille plutôt acceptable. Bref, une femme qu'on pourrait qualifiée de presque banale mais charmante. 25 ans 24 Septembre 2045 Edimbourg Humaine Citoyenne kim-beurre-lait Histoire 1er Octobre 2051, quartier de Sighthill, Edimbourg, Ecosse.
Les lumières agressives et clignotantes du gyrophare de l'unique voiture des forces de l'ordre qui soit venue dans ce quartier pourri qu'était Sighthill donnait un aspect irréel au visage de Kyle Johnson. Quatre agents – seulement – examinaient la scène du crime, à l'intérieur du taudis qui faisait office de maison au vieil ami de Kyle. Appuyé contre le mur extérieur de la maison, fumant un cigarette pour calmer la colère qui manquait de le faire exploser, il attendait et observait les quatre idiots qui faisaient office de « policiers », la porte d'entrée étant ouverte. Le corps de John Tyler gisait sur le sol, un trou sanguinolent au dessus du cœur. Il était allongé sur le dos, telle une poupée désarticulée. Le bois craquelé du planché avait pris une couleur presque noire à l'endroit où le sang avait coulé, formant comme un tapis autour du cadavre de son ami. Prostrée contre un mur, des larmes coulant de ses yeux, la gamine de John enlaçait ses jambes repliées contre elle. Elle tremblait. Même d'ici et malgré l'obscurité, Kyle pouvait le voir.
Pauvre gosse... pensa-t-il.
Un des « policier » – pouvait-on vraiment appeler policiers ces gars au service d'un gouvernement, si tant est qu'on pouvait dire qu'un gouvernement existe, corrompu par Pinxit Industrie ? – s'approcha de lui, l'air sinistre. Il passa une main dans ses cheveux, se grattant le sommet du crane au passage.
- Il est mort, déclara-t-il.
Non, vraiment... ?
- Je crois que je m'en suis rendu compte tout seul...
Le gaillard ne sembla pas apprécier le sarcasme dégoulinant de Kyle mais ne releva pas.
- Vous êtes de la famille ? préféra-t-il demander à la place. - Un ami de la victime. Comme il se perdait souvent dans son boulot, j'ai voulu téléphoner à John pour lui rappeler que je l'avais invité à dîner, ce soir. Il venait de divorcer avec sa femme alors j'ai pensé qu'un peu de distraction lui ferait de bien.
En évoquant la femme de John, Briana, Kyle espérait ainsi faire comprendre au demeuré face à lui qu'elle était la suspecte principale. Elle avait un mobile, à savoir le divorce vu que c'était John qui l'avait demandé. Même s'il était vrai que n'importe qui aurait pu , à priori, tuer John, Kyle avait remarqué que son vieil ami était mort d'une seule et unique blessure : celle qu'on voyait sur sa poitrine. Ce qui signifiait qu'il s'agissait-là de l’œuvre d'un professionnel et pas du premier voyou de Sighthill. Sans oublier qu'il n'y avait aucune trace de lutte. Mais c'était sans compter le Conglomérat qui graissait la patte aux soit disant forces de l'ordre.
- John n'a jamais décroché, poursuit quand même Kyle. Ce n'est pas dans ses habitudes. En tant que journaliste, il répond toujours quand il a un appel. Ou alors, il rappelle assez rapidement. Alors j'ai décidé de venir voir ce qui se passe. J'ai vu le corps, je vous ai appelé. Fin de l'histoire. Si vous voulez plus de détail, je viendrai faire ma déposition au commissariat. - Ce ne sera pas nécessaire, Mr Johnson. Nous avons ce qu'il nous faut.
Evidemment... Kyle en fut à peine surpris.
- Vous allez interroger la gamine ? demanda-t-il en désignant la fillette, toujours recroquevillée. - Nous n'avons pas besoin de son témoignage. Et puis, elle est suffisamment chamboulée comme ça.
Ben voyons ! Néanmoins, Kyle en fut choqué. La police était à ce point corrompu pour refuser d'écouter un témoin direct ? Cela confirma ce qu'il soupçonnait déjà : le Conglomérat était derrière tout ça. Et sans doute plus précisément Pinxit Industrie.
Bon sang, John ! Je t'avais pourtant prévenu qu'à force de fouiner dans leurs affaires, tu courrais vers les ennuis !
Le vingtenaire qu'était Kyle regarda les trois autres policiers enfermer le corps de John dans un sac avant de le déposer sur un brancard. Il les suivit du regard tandis qu'ils emportaient le corps.
- Je réclamerai le corps, quand vous aurez terminé l'autopsie, déclara Kyle. - Vous pouvez déjà le faire. Il n'y a pas besoin d'autopsie.
Kyle faillit soupirer. Ils sont vraiment sérieux ?
- Je prends la petite avec moi, dit-il. - Je suis désolée mais elle doit... - Je prends la petite avec moi. Je suis son parrain. Ce qui signifie que son père voulait me la confier s'il lui arrivait quelque chose !
L'agent de police dût admettre qu'il avait raison. Si un membre de la famille réclamait la petite Mathilda, seulement âgée de six ans, il n'avait pas le choix de lui confier. Kyle s'approcha de la fillette et s'accroupit devant elle.
- Mathilda, tu me reconnais ?
Le jeune homme espéra ne pas l'effrayer plus qu'elle ne l'était déjà. Kyle n'avait jamais été très doué pour la douceur ou pour rassurer qui que ce soit. Il n'était pas ce qu'on pourrait appeler... un « sentimental ». Pourtant, la gamine leva ses yeux rougis et hocha simplement la tête.
- Je vais t'emmener chez moi. Tu y sera en sécurité, d'accord ?
Un nouveau hochement de tête. Kyle se redressa et tendit une main vers elle. La fillette, toujours tremblotante, y glissa la sienne et se laissa mettre debout.
Dans un geste qui le surpris lui-même, l'ami de John Tyler prit l'enfant dans ses bras et la porta en la maintenant contre son torse. Il avait peut-être un fils – appelé Léo – mais il n'avait jamais su exprimer la moindre affection à un enfant. Ou a quiconque d'autre. Kyle était ce qu'on surnommait... un handicapé émotionnel. Dire des « je t'aime » ou offrir des fleurs et du chocolat... il ne s'agissait pas de quelque chose qui parvenait à faire. Ça s'était amélioré à la rencontre de sa femme, Wendy, mais celle-ci était décédée à la naissance de leur fils. Une perte qui l'avait grandement affecté. Aujourd'hui encore, après sept ans, la mort de Wendy pesait sur son cœur et son âme. Alors qu'il sortait de la « maison » de John, Mathilda posa sa tête sur son épaule en tenant entre ses doigt le col de la chemise que son parrain portait.
- Ne t'en fais pas, Mathilda. Je te protégerai, lui murmura Kyle.
2061, quartier de Newtown, Edimbourg, Ecosse.
- Tu dois regarder chacun de mes mouvements et les analyser, bon sang ! gronda Kyle.
Il fixait sévèrement Mathilda qui avait les fesses au sol et le foudroyait du regard.
- Tu n'étais pas obligé de frapper aussi fort..., bougonna-t-elle.
Kyle frappa. Il fit mine de viser le visage de l'adolescente de seize ans. Celle-ci se protégea avec ses bras mais elle fit pas attention au deuxième poing qui la percuta en plein ventre. Son parrain ne fut pas ému le moins du monde par le cri étouffé de douleur qu'elle poussa.
- Je te déteste... marmonna Mathilda. - Debout ! ordonna Kyle. - Pour que tu me tabasses encore ? Non, merci ! - Je ne te tabasses pas, je t'entraîne ! Nuance. - Tu parles d'une nuance..., ronchonna l'adolescente en se relevant.
Kyle préféra ne pas relever. Elle se massa à l'endroit où il avait abattu son poing.
- Je vais avoir des bleus partout... C'est horrible... - Estime-toi heureuse que ce ne soit que des bleus ! - Qu'est-ce que je dois comprendre... ? - Exactement ce que ça veut dire. Maintenant, met-toi en position !
Mathilda grommela mais obéit. Kyle attaqua derechef et n'attendit pas qu'elle soit prête. Elle para comme elle put mais ne vit pas la jambe de son parrain qui lui fit perdre l'équilibre. Elle tomba sur le dos et fut plaquée au sol, incapable de faire le moindre mouvement. Elle eut beau tenter de se dégager, son parrain la maîtrisait. Jusqu'à ce qu'il se décide à la lâcher. Pour se venger, elle plongea sur lui en espérant pouvoir prendre son adversaire par surprise. Complètement idiot, évidement... Mais elle en avait tellement marre de se prendre une raclée ! En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, Kyle avait immobilisé Mathilda en lui maintenant les poignets dans le dos.
- Ne jamais attaquer sous le coup de la colère !
Le ton sévère et intransigeant de Kyle fit ravaler la remarque qui allait sortir de ses lèvres. Elle ne prononça pas un mot, ne fit aucun mouvement... Alors seulement, son parrain accepta de la lâcher.
L'entraînement reprit. Pendant une heure, l'adolescente dût encaisser coup sur coup ainsi que les remarques acerbes de son tuteur légal. Elle avait été d'accord pour qu'il l'initie aux arts martiaux, comme il le faisait aussi pour Léo. Apprendre à se défendre ne faisait jamais de mal. Mais tout de même ! Avait-il besoin d'être aussi sévère et dur ? Non pas qu'elle ne se soit attendu à ce qu'il la ménage – Kyle avait toujours été du genre grognon et à prendre tout au sérieux – mais...
Bon sang ! Elle va ressembler à quoi demain, à l'école ? On va se demander si elle est battue... Déjà qu'on la trouvait bizarre... A la mort de son père, Mathilda avait perdu l'usage de la parole pendant deux ans. Elle avait été incapable de parler. Pour se faire comprendre, elle utilisait ses mains. A l'école, on l'évitait et on la prenait pour une attardée. Aujourd'hui encore, on pensait, bien qu'elle parlât à nouveau, que Mathilda n'était qu'une simple d'esprit parce qu'on se souvenait encore de l'époque où sa voix ne répondait plus. Ça lui faisait souvent mal, même si elle avait appris à passer outre. Elle restait seule. Sans ami. Hormis Léo, le fils de Kyle, qu'elle considérait comme son frère.
La séance d'entraînement se termina et Mathilda partit prendre une douche en grommelant contre les points douloureux que lui avait infligé son parrain. En chemin, elle croisa Léo... qui sembla amusé de la voir se masser l'épaule
- Ne te moque pas de moi... l'avertit Mathilda - Mais je ne me moque pas.
Mais il ne put cacher son sourire évident.
2070, quartier de Newtown, Edimbourg, Ecosse.
Mathilda terminait de ranger les derniers cartons. Léo était là et finissait de l'aider.
- Et voilà ! Tout tes cartons sont vidés ! Fit-il. - Merci, Léo. - Je t'en prie. C'est normale d'aider ma presque sœur à déménager.
Mathilda sourit et regarda autour d'elle. Les cartons vides gisaient un peu partout dans l'appartement où elle venait d'emménager. Un petit appartement plutôt agréable situé au deuxième étage d'un immeuble. Il n'était pas particulièrement luxueux, bien qu'il fut équipé d'une salle de vie plutôt spacieuse, d'une cuisine, d'une salle de bain et de deux chambres à coucher. Léo, lui avait son appartement dans le même immeuble mais à l'étage au dessus. Sauf que, contrairement à Mathilda, il y vivait depuis trois ans.
- Quand commences-tu ton stage de six mois ? l'interrogea Léo. - Lundi qui vient. A la bibliothèque de Stockbridge. - Stockbridge ? Ce n'est pas là où traînent les puristes ?
Mathilda lui jeta un regard, se demandant où il voulait en venir.
- Oui, il me semble. Pourquoi ? - Rien. Juste... soit prudente. - Pourquoi tu t'inquiètes ? Stockbridge n'est pas Sighthill ou Leith. Et puis, je n'aime pas les « améliorations »... si on peut appeler ça des améliorations... Donc, je ne risque rien des puristes. - Oui mais tu ne les condamnes pas non plus. - Si une amélioration est dû suite à un accident ou si ce n'est pas volontaire... en effet. Tout dépend du contexte. - Les puristes ne sont pas aussi tolérants.
Elle soupira.
- Les puristes n'ont aucune raison de s'en prendre à moi. Que veux-tu qu'une simple fille comme moi les gène ? Je n'ai aucune intention de leur mettre des bâtons dans les roues.
Léo baissa la tête, cédant. Mais il releva les yeux presque aussitôt, le regard dur. Un regard très semblable à celui de Kyle. Ce qui surprit Mathilda. Elle ne l'avait jamais vu la fixer de cette manière.
- Ne va plus te rendre à Sighthill comme tu le fais depuis quatre ans.
Le ton et l'accusation qu'elle percevait dans la voix de Léo prit la jeune femme au dépourvu.
- Quoi ? - Je suis au courant, tu sais ? - Au courant de quoi ? - Tu vas régulièrement à Sighthill. Plus précisément sur les restes de la maison de ton père.
Mathilda se tut. Nier aurait été inutile. Léo l'avait percée à jour.
- Qu'est-ce que tu espères en allant là-bas ? insista mon frère. - J'aimerai la retrouver, avouai-je.
Léo lui jeta un regard interrogateur, ne comprenant pas sur le moment. Puis il saisit à qui sa sœur faisait allusion.
- Ta mère...
Mathilda acquiesça d'un signe de tête.
- Et qu'est-ce que tu comptes faire une fois que tu l'auras retrouvée ?
Son ton était à nouveau accusateur.
- Je ne sais pas. Lui demander de me fournir des réponses ? Qu'elle me dise pourquoi elle a tué mon père ? - Le pourquoi, tu le sais. Ton père essayait de trouver des choses cachées sur le Conglomérat et en particulier Pinxit Industrie. Le résultat, tu le connais. - Oui mais lui a-t-on donné l'ordre de l'espionner ? Est-ce qu'elle aimait mon père ou l'a-t-elle manipuler ? C'est ça ce que j'aimerai savoir. Savoir si elle regrette. Savoir si elle y a été forcée. N'ai-je pas le droit de comprendre ?
La jeune femme se sentit au bord des larmes. A chaque fois qu'elle évoquait son père, la douleur venait, étouffante, et lui donnait des vertiges, bloquant momentanément sa voix comme lorsqu'elle était enfant. Léo, sensible à sa souffrance, vient la prendre dans ses bras pour la calmer. Doucement, il la berça et elle se reprit petit à petit.
- Merci, Léo. Merci d'être là. - Tu n'as pas besoin de me remercier.
Sortant un mouchoir de sa poche, il le lui tendit. Avec un petit rire amusé, Mathilda l'accepta, même si elle n'en avait pas besoin.
- On mange dehors avec papa, ce soir ? proposa Léo - D'accord, avec plaisir
You, myself & I Pseudo Ϟ Envy Comment as-tu connu le forum ? Ϟ Johanna m'a gentiment suggérée de venir =D Ton avis sur le forum ? Ϟ Intéressant ^^ Code Ϟ OK. |
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AGENT VIPER : SHADOW Ϟ Mensonges proférés : 562 Ϟ Richesses amassées : 885 Ϟ Epitaphe : 01/06/2014 Ϟ Pseudonyme : Blackbird ~ Ϟ Crédits : Blackbird ~ Ϟ Gagne-pain : Agent Black Viper, chien d'attaque de Pinxit Industries, assassin professionnel. Ϟ Liens utiles : Ϟ Ma fiche -
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Skylar J. Kenway
| Sujet: Re: Mathilda Tyler (terminé) Sam 22 Aoû - 15:52 | |
| Bienvenue à toi Mathilda, et bonne chance pour ta fiche ! Si tu as des questions, ma boîte mp est ouverte. |
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THE TIMELESS ONE Ϟ Mensonges proférés : 165 Ϟ Richesses amassées : 316 Ϟ Epitaphe : 01/06/2014 Ϟ Pseudonyme : Le tiens, le vôtre, le nôtre. Ϟ Crédits : Blackbird. Ϟ Gagne-pain : Marionnettiste éhonté d'âmes damnées et écervelées. Intelligence Artificielle
| Sujet: Re: Mathilda Tyler (terminé) Dim 23 Aoû - 22:00 | |
| Félicitations Validation expresse Ave ! Bienvenue à toi ! Je n'ai rien à dire sur ta fiche, si ce n'est qu'elle fut plaisante à lire. Félicitation, jeune padawan ! Te voilà validé, et devenu membre officiel de notre équipage de fous furieux ! Avant toute chose, moi, sa sacrosainteté le MJ, te demanderai de faire référencer ton avatar. Ceci accompli, le forum t'ouvrira les bras ! N'hésite pas à créer une fiche de liens, afin que les autres joueurs tissent avec toi les plus belles -ou les plus terribles relations qui soient. Tu peux également tenir ton propre journal. Tu es la recherche de ta maman ou de ton petit frère ? La section scenarii est à ta disposition ! Si tu as la moindre question, n'hésites jamais à contacter le staff ! Bon jeu sur DS ! |
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